Le vendredi 1er avril 2024, le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim Traoré, s’est rendu à Sourgou, dans la province du Boulkiemdé, pour la pose de la première pierre d’un complexe industriel textile de la société IRO-TEXBURKINA SA.
Ce complexe, d’un coût total de 165 milliards de FCFA, vise à développer la chaîne de valeur du coton burkinabè en produisant une large gamme de produits textiles, tels que des fils, des tissus, des vêtements et des produits médicalisés.
Un impact économique et social majeur
La construction de cette usine est attendue avec impatience pour son impact économique et social important. En effet, elle permettra de créer environ 5 000 emplois directs et des milliers d’emplois indirects, contribuant ainsi à la réduction du chômage et à la stimulation de l’économie locale.
Un symbole de la renaissance industrielle du Burkina Faso
Le Capitaine Ibrahim Traoré a salué l’initiative de la société IRO-TEXBURKINA SA et a réaffirmé son engagement à soutenir le développement du secteur industriel au Burkina Faso. Il a également appelé les autres investisseurs à s’inspirer de cet exemple et à contribuer à la renaissance industrielle du pays.
Un pas vers l’autosuffisance en produits textiles
La construction de ce complexe industriel textile est une étape importante vers l’autosuffisance du Burkina Faso en produits textiles. Le pays, qui est l’un des plus grands producteurs de coton en Afrique, a longtemps dépendu des importations pour répondre à ses besoins en textiles.
Un avenir prometteur pour le secteur textile burkinabè
La pose de la première pierre de ce complexe industriel textile est un symbole fort de l’ambition du Burkina Faso de devenir un acteur majeur de l’industrie textile en Afrique. Avec le soutien du gouvernement et des investisseurs privés, le secteur textile burkinabè a un avenir prometteur.
En conclusion, la construction de ce complexe industriel textile à Sourgou est une initiative majeure qui contribuera à la croissance économique du Burkina Faso, à la création d’emplois et à l’autosuffisance du pays en produits textiles.