Le virus Mpox, anciennement connu sous le nom de variole du singe, suscite une inquiétude croissante à l’échelle mondiale. Originaire d’Afrique centrale et de l’Ouest, il a été identifié pour la première fois chez des singes en 1958. Ce virus zoonotique se propage désormais chez l’homme, mettant en lumière la nécessité d’une vigilance accrue.
Les modes de transmission du Mpox incluent le contact direct avec des fluides corporels ou les lésions cutanées d’une personne infectée. La transmission peut également se faire par le biais d’objets contaminés, comme des vêtements ou du linge de lit. En Afrique, la situation actuelle est préoccupante : des épidémies sporadiques continuent d’être signalées, avec des milliers de cas et plusieurs décès enregistrés ces dernières années.
Les chiffres sont alarmants, avec plus de 100 cas mortels depuis le début des épidémies. Ce phénomène met en évidence les lacunes dans la surveillance épidémiologique et l’accès aux soins de santé dans de nombreuses régions d’Afrique.
Si le Mpox n’est pas rapidement éradiqué, les conséquences pourraient être désastreuses. Une propagation incontrôlée pourrait engendrer une crise de santé publique, augmentant les hospitalisations et les décès. La communauté internationale doit agir rapidement pour contenir cette menace et renforcer les systèmes de santé en Afrique.
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